Undertale
— review, jeu-vidéo — ~2mn de lecture
Ça faisait un moment que je voulais me refaire Undertale (notamment parce que j’ai jamais réussi à vaincre Sans1…), mais quand une amie s’est décidée à y jouer, ça m’a fait y jouer aussi. Et en fait, je crois bien que c’est de loin mon jeu préféré.
Bon, en vrai je pensais que j’avais à recommencer du début, sauf qu’en lançant ma partie, j’en étais au boss “final” de la Neutral Run. Mais là n’est pas la question.
Undertale, c’est assez incroyable, parce qu’il arrive à être parfait (ou presque) à mes yeux sur tous les plans.
Sa musique est incroyable, tous les thèmes principaux sont mémorables et véhiculent une vraie émotion (comment ça New Home me fait chialer ?)
Ses personnages sont ultra attachants et très bien écrits. Et aucun n’est un cliché. Le bien et le mal, le blanc et le noir, ça n’existe pas dans ce jeu, tous les personnages sont des teintes différentes de gris, chacun a ses motivations et ses sentiments propres, une vraie personnalité.
Le gameplay est ultra ingénieux (tout du moins les combats). Déjà, le système de combat est très bien vu et l’idée de base est sympatoche. Mais en plus, Toby Fox arrive à jouer avec de manière formidable en rendant l’interface du jeu inhérente au jeu lui-même (oserais-je dire “intradiégétique” ?)
Le meta est super agréable (j’adore le meta). Comme avec l’interface pour les combats, l’humour des fois, le personnage entier de Flowey.
L’histoire est incroyablement riche. Je mentionnais mon amie qui commence le jeu et qui connait très peu, et bien on a remarqué avec d’autres amis qu’il y avait un nombre phénoménal de ~ressorts scénaristiques~ et de trucs à spoiler.
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sauf que maintenant si !! Le 12 février, même. Je me rappelle avoir hurlé de satisfaction dans le local de l’association, ça a surpris quelques personnes présentes haha ↩
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